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Les actualités

Vous découvrirez périodiquement des articles précieux apportant un éclairage sur les thèmes de la formation et de l'accompagnement

Le thème du bien-être au travail pose indéniablement la question du sens donné au travail ; et ce pour toutes les entreprises, quels que soient leur secteur d’activité et leur taille.

La crise économique ainsi que certains évènements, parfois dramatiques qui ont frappés certaines grandes entreprises françaises ces dernières années, ont donné plus d’importance à la prévention des risques psycho-sociaux, et notamment au stress professionnel. Mais ce sujet est traité de façon technique et encore aujourd’hui souvent tabou dans les entreprises.

Le stress renvoi à une perception personnelle de charges et de contraintes, toutefois il ne faut  pas perdre de vue que le bien-être au travail est le résultat d’un équilibre approprié entre des éléments très divers tels que l’intérêt du travail, le climat, le sentiment d’implication et de responsabilisation, le droit à l’erreur accordé à chacun, la reconnaissance et la valorisation du travail effectué, les perspectives d’évolution, la culture de l’entreprise, le respect des hommes et des femmes, les rythmes et horaires de travail… Tous ces paramètres sont un cadre de référence défini par l’entreprise mais c’est au manager de trouver l’ajustement au quotidien.

On le constate tous les jours, le bien-être au travail ne se décrète pas, il se développe au travers d’actions et de pratiques concrètes, mises en œuvre au quotidien : comme la gestion des ressources humaines, les pratiques de management, l’organisation, la conduite du changement, la communication.

Donner du sens au travail développe l’engagement, l’épanouissement, la santé mais aussi la performance collective et la rentabilité de l’entreprise.

Il est possible aujourd’hui de faire un lien entre la performance économique et l’innovation sociale. Dès lors que l’entreprise développe qualification et autonomie, la productivité et la qualité s’accroissent. Il est donc indispensable de créer les conditions d’un cercle vertueux du bien-être au travail.

Sur ce point, comme tant d’autre, l’implication au plus haut de l’entreprise est indispensable, car c’est une des conditions pour que toute l’entreprise s’engage dans une démarche de progrès et puisse donner une traduction concrète à travers sa ligne managériale. Cela implique aussi l’implication de tous les acteurs – DRH, CHSCT, médecins du travail – sans oublier les collaborateurs eux-mêmes.

L’entreprise doit, dans un premier temps, porter les enjeux et les finalités de la démarche auprès des équipes. Pour s’engager pleinement les collaborateurs doivent pouvoir comprendre les choix de l’entreprise, leur place dans l’organisation globale et leur contribution aux objectifs.

Plutôt que de considérer le cadre légal comme une contrainte, envisageons-le comme une véritable opportunité de réinvestir l’humain dans nos politiques sociales.

La valorisation du plaisir au travail relève du bon sens, presque naturelle, lié à l’organisation du travail et à la reconnaissance, mais également, au premier plan, de la conviction qui doit être partagée : pas de performance économique sans progrès social.

Le bien-être au travail va de pair avec l’efficacité et la performance. Il s’agit bien là d’une question fondamentale qui doit être traité par les directions d’entreprise avec l’aide de leurs managers.

Pas de performance économique sans progrès social : Via Ferrata accompagne les entreprises dans la mise en oeuvre des politiques de gestion et de prévention des RPS

Courage : ne fuyons plus ! Via Ferrata permet aux patron de former des binomes performant avec chaque collaborateur, et ainsi former une équipe qui apportera une réelle valeur ajoutée

Burn Out, syndrome d’épuisement professionnel, souffrance au travail, RPS… toutes ces appellations ne parlent que des victimes, laissant supposer qu’elles souffrent d’une sorte de faiblesse, de fragilité congénitale qui les empêche de se montrer comme le rêve les actionnaires et autres patrons, dures, résistantes… soumises.

Les humains sont fragiles, sensibles à la fatigue et aux tensions. Incapables de laisser leur vie privée au seuil de l’entreprise, ils ont besoin de considération et de clareté.

Faute de s’occuper réellement du problème, les entreprises mettent en place des placébos– numéro vert, enquête de climat social – comme pour dire : « au moins on a essayé, et au regard de la loi, nous sommes dans les clous ».

Combien de soldats inconnus tombé au combat de la performance à tout crin ?

 

Le seul vrai remède à la souffrance au travail est vieux comme le monde et ne demande pas un investissement trop lourd : c’est le courage managérial !

Personne ne se suicide dans les entreprises bien managées, basées sur des principes clairs, des règles partagées, des objectifs et des priorités cohérentes. Personne n’est perdu lorsque les balises sont claires et que l’on prépare les managers à suivre la performance de chaque collaborateur. Personne ne harcèle lorsque la première tentative est clairement réprimandée.

 

Il est fondamental aujourd’hui de sortir de la logique comptable et d’aider l’entreprise à reconstruire le courage managérial.

Comment ?

Par la construction et le partage de points de repères clairs et d’une vision partagée, par l’exemplarité et par l’équité.

Via ferrata

un lien entre les hommes

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